La NBA, la Fédération internationale de basket-ball (FIBA) et la Fédération égyptienne de basket-ball ont annoncé hier que le camp Basketball Without Borders (BWB) Africa 2022 se tiendra du dimanche 28 août au mercredi 31 août au Hassan Mostafa Indoor Sports Complex au Caire, en Égypte. Le 18e camp BWB Africa marquera la première fois que le programme mondial de développement du basket-ball et de sensibilisation communautaire de la NBA et de la FIBA se tiendra en Égypte et la première fois sur le continent depuis 2019 au Sénégal.
BWB Africa 2022 rassemblera plus de 60 des meilleurs joueurs et joueuses âgés de 18 ans et moins de toute l’Afrique pour apprendre directement des joueurs, légendes et entraîneurs actuels et anciens de la NBA, de la WNBA et de la FIBA et concourir aux côtés des meilleurs espoirs du continent. Les campeurs et les entraîneurs prendront également part à des programmes d’apprentissage de la vie, de développement du leadership et de service communautaire.
« Basketball Without Borders est notre camp phare de développement de l’élite en Afrique, et nous sommes ravis que l’événement reprenne sur le continent pour la première fois en trois ans », déclare Victor Williams, PDG de NBA Africa.
Un nombre record de 41 anciens campeurs BWB figuraient parmi les 121 joueurs internationaux figurant sur les listes de la soirée d’ouverture, notamment le champion NBA 2019 Pascal Siakam (Toronto Raptors ; Cameroun ; BWB Africa 2012) et le quintuple All-Star de la NBA Joel Embiid (Philadelphia 76ers ; Cameroun ; BWB Africa 2011). Lors de la draft 2022 de la NBA, deux anciens campeurs de BWB Africa ont été sélectionnés pour la NBA : Christian Koloko (n° 33 global par les Raptors ; Cameroun ; BWB Africa 2017) et Khalifa Diop (n° 39 global par les Cleveland Cavaliers ; Sénégal ; BWB Africa 2018). Douze anciens campeurs de BWB Africa ont été recrutés dans la NBA depuis 2003.
BWB Africa 2022 sera soutenu par Nike, qui équipera les participants de vêtements et de chaussures Nike, et Gatorade, qui permettra aux joueurs et aux entraîneurs de s’hydrater tout au long du camp.
Éric Essomba